1794 ème jour d'écriture : La méchanceté des dévoreuses de mâles

Publié le par Ceci est un blog

J’aime la méchanceté des dévoreuses de mâles parce que cette méchanceté, c’est celle que j’ai toujours voulu avoir. Je sais qu’au fond de moi je n’ai pas de cœur, je ne ressens rien, mais il y a comme une retenue qui m’empêche d’exprimer l’homme sans cœur que je suis ; baiser et oublier et baiser la prochaine. Mais les petites putes dévergondées, je deviens ami avec elles et j’oublie de les baiser. Alors, j’essaie de dévergonder des filles sages, mais cela n’a pas le même goût. Je ne crois pas que devenir dévoreuse de vie et du sexe des hommes puisse s'apprendre. Cet hédonisme insatiable cela doit se porter dans les tripes ou dans le vagin dès la naissance. On peut le singer, on peut s'y essayer mais pas le devenir si on ne le porte pas en soi. Alors j’échoue à transformer les vierges en putains.

L’auteur se faisait l’ami des putains et écrivait pour elles des fables

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article