Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Real Fake a.k.a Monsieur Ray

Real Fake a.k.a Monsieur Ray, amateur en racolage et en force passive. But no Fake car l’auteur invente et l’écrivain rédige des railleries sur le réel ; ce sont tous les deux des transitaires qui travestissent les trouvailles des travailleurs afin de...

Lire la suite

La récolte publicitaire d'un lundi

La récolte publicitaire d'un lundi

Vas y monsieur, fais toi aussi ton communicant. Racole donc un peu, c’est cool, c’est chic, c’est soft, c’est porn, c’est hype, c’est cool, c’est normal. Recolle petit à petit les morceaux d’attention dispersée. Ce n’est pas cool, les gens sont de vraies...

Lire la suite

En temps et heure

Je suis l’univers qui meut. L’univers qui dort. Je suis l’unique vers qui dévore les papillons. Je chie quelques pommes. Quand la mort rôde armée de sa routine ordinaire je suis celui qui ne dors pas. Et quand elle me fait l’horreur de son visage d’os...

Lire la suite

Ogre sans carapace

Le son long est une lame délicate qui imprime la marque de ses dents dans la lèvre de ma femme. Le sang lent et délicat coule comme une épaisse bisque le long des jambes fine de ma fille. Le temps large est une distorsion entre mes tympans et l’oracle...

Lire la suite

Amour - Nuit - Noir

Amour - Nuit - Noir

L’amour n’a pas de frontière, de religion, de sexe, de couleur. Les lieux communs non plus. C’est avec ce genre de pensées que l’on fabrique des machines à brasser du vide. Je ne suis pas méchant, je ne suis pas trop con, je ne suis pas un monstre mais...

Lire la suite

Forme courte

Le soleil, trop calme, se lève enfin. Enfin il sort des nuages et déchire la gangue vaporeuse qui ouvrageait le ciel d’un voile hors saison. Dans la chambre nuptiale Lénaic se réveille enfin. Elle relève le drap qui la couvrait et laisse le soleil darder...

Lire la suite

La mort et la marelle

[...] J’étais la petite fille qui jouait à la marelle Elles disaient que je n’irai pas au ciel Menteuses ! Je n’en étais qu’à quatre degrés d’y être. Mon paradis pour leurs enfers ! Foutaises simiesques ! Je me rappelle de la colère que je minais. Le...

Lire la suite

De la porse

Ils possèdent puis se dépossèdent. Ils déposent et sans le savoir ils se délivrent. Lui il chine, fouine, traque, il n’achète pas, lui récolte. Les glaneurs ne sont jamais morts, les vieux souvenirs jamais loin. Ses morts à rallonge qui s’allongent dans...

Lire la suite

1 2 3 > >>