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prose

Dans le sprint final

Dans le sprint final

Je suis l’orage qui roule sous les mots, l’eau rage qui jaillie d’entre les pierres ; geyser virtuose comme un jet d’encre de sèche expulsé depuis les entrailles. Avec ma lame orange je découpe un agrume, le poète dépèce d’épaisses tranches d’espoir acide...

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Poésie de la scorie

Poésie de la scorie

Les objets naissent, les objets meurent, la culture est un château, une tour, un building ou une ville, elle s’extirpe du vol comme des entrailles de la mère puis elle perce une à une les hymens de la nature virginale et sauvage jusqu’au paroxysme de...

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Poésie en prose

Poésie en prose

Synthèse étique des lendemains qui chantent ; épéistes symétriques dans le sonnet d’un poème, rigoristes hermétiques quelques lignes plus loin. L’appât sur les talons et l’appeau à la bouche simple pêcheur lance ses leurres aux heures indues où les prêcheurs...

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La paix contre bol de ramens

La paix contre bol de ramens

La ville cet espace impensé de la présence d'autrui ; le ventre d’un monde où grouillent la vermines et l’homme qui cent fois se confondent. Ville, espace de milles amours bruyants et puants, les cris des klaxons, vapeurs des voitures, les rainures noires...

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La prose qui ose n'est qu'un pléonasme

La prose qui ose n'est qu'un pléonasme

Agir clef en main sur ton visage blanc comme la crème de nuit – reposer le poids, trinité la main en l’air j’efface d’un geste vif la galbe qui claque. La poésie profane le réel tel un mensonge – poète et matador dans l’arène sa dessus dessous et sa fille...

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Divagation aux enfers dépassés

Divagation aux enfers dépassés

Détourne-toi que je puisse voir tes fesses, ton cul, par là où tu déverses autant de merde que de beauté. C’est comme tes lèvres nouées de dentelles lorsqu’elles s’écartent et décloisonnent les vannes de ta pudeur ; tu dis alors autant d’insanité que...

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L'incendie, le poète et le blasphème

L'incendie, le poète et le blasphème

Ton feu, mon incendie et les volutes évanescentes qui dessinent comme des hautes arches de cathédrale par-dessus ta gorge ronde. Ta clope au bec, tes lèvres mi-closes à demie roses, tu aspires et la braise rougeoie tandis que j’y vois un aiguillon vibrant...

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Ma poésie est un mauvais compte

Ma poésie est un mauvais compte

Deux cents mots, le poète n’est pas toujours un poète car il est aussi un conteur, un raconteur, rongeur musqué des villes ou des campagnes qui propage les mots comme la peste, comme la rumeur ; mais le poète est un compteur, quand je suis lui et que...

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