Une concentration élevée en roulotte

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Une fois de plus. Hystérie nécessaire à la recherche d'un hôtel perdu ; et 1871 jour depuis la création de ce blog, né dans l'expérience d'une folle contrainte de soi à soi, de moi à moi. Jour de citation, véritable fausse citation ou fausse véritable citation voir même réelle citation d'une oeuvre réelle à naître ou née sous mes doigts.

Il, homme à renaître, va à l'hôtel. Il va renaître au contact espéré d'une amante, jeune maîtresse, future femme fougueuse et actuelle jeune fille presque fugueuse mais follement amoureuse et prête à tout lui laisser, le sang et les larmes et l'amour et le corps lascif offert. Il va dans des hôtels rencontrer des demoiselles qui s'imaginent plus catin que pucelle et il leur fait la vie, il ouvre en elles des portes et des failles par là où s'infiltre la vie en elles. Il vient pour prendre du plaisir, elles lui laisse parfois du sang et dans un râle essoufflé elles lui offre l'amour, la promesse d'une jeunesse éternelle. Il ne prend aucune photos, ne garde aucun souvenirs de ces rencontres fugaces à la sexualité fulgurante. Il ne garde rien, sauf des serviettes blanches volées aux hôtels, des serviettes éponges qui en potentiel on épousées les courbes féminines qui ont jalli de leurs corps adolescents ensoleillé. C'est tout ce qui lui reste de ces rencontres là, la blancheur d'une serviette éponge sans symbole ni logo

Autofiction du vendeur de sanitaire

Publié dans autofiction, citation

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