Jour #1379 Pourtant les commentaire y sont ouverts
excès de Spam ou Troll, ou trop de Personnes désobligeantes - pléonasme -
Je dis je le dis au sens ou je l’assume-je ; si certains blogueurs s'en défendent, s’en détournent comme pour faire dire à eux qu’ils n’y touchent pas, pas de ça pour moi pour eux, moi je le revendique en mon moi c'est-à-dire mon nom : je blog pour les commentaires.
Il n'y a rien de plus vivifiant qu'un inconnu ou qu’une amie connue de soi ou encore qu’une inconnue ou un ami dont on ne sait plus si l’on le connaît ou non qui commente ce que j'ai écris ; c’est une forme d’échange différé dans le temps et l’espace - c’est une forme de change différent ; les mots qui me sont déposés en commentaire me change ; cette forme d'échange est une détonation donnant naissance à une réaction en chaîne. Les commentaires m’ébranlent, quand on écrit ou que l'on reçoit un commentaire, on met en soi en branlent des lambeaux de réflexions qui me nourrissent :
- J’aime cela, c’est viscéral
- J’aime cela, c’est vital
- J’aime cela, c’est véridique.
C’est cette chose-là, le commentaire reçu, le commentaire qui m’alimente, le commentaire qui me réaction en chaîne, le commentaire qui me déchaîne, le commentaire qui zappe, le commentaire, c'est ce qui me motive à écrire encore et encore sur mon blog / sur mes blogs.
Je suis un blogueur, en commentaire j’ai connu des périodes fastes, en commentaires j’ai connu des périodes de vaches maigres, parfois de commentaires en commentaires se tissent des amitiés, parfois ça pourrait être le cas mais la personne cesse de vous lire et de vous dire ce qu’elle pense et moi je me retrouve en manque d’elle ou de cela. Je ne sais pas trop pourquoi est-ce que je dis cela ? Sûrement parce que j’écris pour cela mais que cela sonne curieux quand cela résonne en dehors de mon crâne de la même manière que les commentaires sont agissants en dedans de mon blog qui n’est qu’un crâne numérique.
Je n’ai été, je n’ai jamais, jamais je n’ai été trollé ou alors que très rarement trollé, trop rarement d'ailleurs à mon goût parce que j'aime user de la verve pour tenir tête aux cons, mais les cons ne s'aventurent jamais dans mon pays blogesque. Pourtant les commentaire y sont ouverts