De quoi est-ce que le futur ne peut pas se passer ? De la misère grouillante agglutinée dans les basfonds des villes, de la pluie sale et souillée qui délave la crasse et tronque le paysage d’un ciel et de points de fuites. Des bidons métalliques usées,...

Que sais-tu du décor et de la falsification des corps lorsque l’homme et la femme s’adonnent à la mise en scène des costumes, c’est du fait main, la mort dans l’âme, du sûr mesure sans mesurer la distance du modèle à la copie. Quand un ange c’est assis...

Dandy des corps et le décolleté dans le dos d’Anne Hathaway tombe sur le tapis comme le rouge aux joues désastreuses de celui qui regarde et qui est surpris par une telle cascade dorsale. C’est une épine dans le pied du sportif, le basketteur qui s’envole,...

J'ai fait une pause Instagram de quelques mois, de quelques semaines, de toutes ces photos non publiées, de tous ces posts en potentiels qui seront restés en étincelles suspendues au-dessus du néant. Ce n'est rien, ce n'est pas tout, c'est un tout, un...

Tout est propre, décimé et le jour des jours et des ans déverse sa prose versatile dans un babillage démoniaque. Ce n’est pas de la littérature, c’est juste décoratif comme la tête d’un diable empaillée, les cornes comme des virgules vrillée et puis la...

C’est sur la plage que s’ébrouent les célébrités en bikini. Les nuits d’hiver sur de longues plages de soleil où les dunes qui lèchent les vagues ressemblent à des déserts arrogants une poignée de femme avec en commun le pédigré de leurs célébrités s’en...

Il y a trop de vies qui s’écoulent comme les eaux usées au caniveau. Trop de vies écroulées sur les rivages les pieds tranchés ensanglantés par les récifs acérés comme des lames. Il y a les drames qui pressionnent le cœur, un passage à tabac thoracique...

Et à jamais j’accuse les appétits diluviens de désordonner les cheveux noués des nonnes et les doigts croisées des dames damnées qui dans les écrans télévisent à grands plats la médiation de leurs intimités. C’est parce que ce pluriel est possible qu’il...

Chloé est mon contact. Araignées textiles sur les épaules, regard vide sans expression parce que les caméras oculaires sont des fenêtres qui ouvrent sur aucune âme et les cheveux forcément bleus électriques, c'est la parfaite prêtresse de la rue qui traque...