Le sein de Gabriella Papadakis échappe à la pudeur

Publié le par Monsieur Ray

Jamais un téton divulgué n’aura autant fait parler de danse sur glace que le téton qui s’est échappé du corsage dénoué, déchiré, dégrafé, (saboté ?) de Gabriella Papadakis l’autre moitié du couple français en compétition pour une médaille d’or. C’est l’affaire du jour dans le petit monde de l’olympisme sur glace. Mais aussi fascinant qu’il soit de pouvoir entrevoir durant de très courts instants une part intime de l’anatomie d’une athlète de haut niveau, ce n’est pas à proprement parler l’image d’un parfait téton dérobé à la pudeur au milieu des strass et des paillettes que je trouve intéressant mais plutôt les proportions médiatiques qu’a rapidement prit ce minuscule Watergate mammaire.

Ma surprise vient du fait que je pensais le corps des athlètes de haut niveau comme des corps impudiques. Homme ou femme je voyais le corps athlétique comme un objet sans retenu, sans coulisse et sans fard. Dans l’effort le corps souffre, souffle, sue, se mue, se tord, s’arc, se bande, se brise, se transcende, se transforme, il s’exprime dans toute sa dimension mécanique par delà les enjeux esthétiques et les enjeux de séductions. Le corps de l’athlète c’était pour moi le corps qui se dévoile par l’effet de son effort et de sa performance ; une performance par nature impudique lorsqu’elle se joue sur la scène du stade.

Les tenues, qu’elles soient réduites à la plus mince des bienséances au travers de pièces de tissus minuscules ou des matières moulantes à l’extrême, ne cachent rien des corps au contraire elles sont là pour facilité la monstration du mouvement. C’est en tout cas ce que je pensais avant de voir l’effet que pouvait provoquer la vue du téton de Gabriella Papadakis. Au paradoxe que la danse sur glace est une épreuve qui exalte l’expression empathique des  concurrents et qui invite les hommes et les femmes à retranscrire la palette complète des émotions liées à la séduction, des émotions qui peuvent facilement passer pour de l’impudeur.

Cette injonction à exprimer et exalter l’amour, le désir et la séduction est bien réelle au point que j’ai entendu à plusieurs reprises des spécialistes critiquer le couple américain formé par Maia Shibutani et Alex Shibutani pour la simple raison qu’ils sont frère sœur et que cela pourrait représenter un handicape pour jouer le registre de l’amour séducteur.

Ni le public, ni les médias, ni la patineuse ne s’offusquent lorsque sa tenue dévoile les dessous de sa jupe, personne non plus s’offusque de voir les couples flirter sur la glace pour exalter l’amour et la séduction, et les biens pensants ne s’offusquent pas de voir le patineur passer ses mains partout sur sa patineuse pour la tenir, la lancer, la faire danser alors pourquoi tout cela pour un sein ? Je me le demande et si je n’étais pas aussi enrhumé et malade j’aurai développé cet article avec plus d’emphase et de précision  mais là je suis KO et je vais arrêter cette mince réflexion sur le sein de Gabriella Papadakis ici et cette nuit je vais me lever pour voir si un nouvel incident va pimenter la compétition.

Le sein de Gabriella Papadakis échappe à la pudeur
Le sein de Gabriella Papadakis échappe à la pudeur
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Le sein de Gabriella Papadakis échappe à la pudeur

Le sein de Gabriella Papadakis échappe à la pudeur

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T
Merci
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M
Très sincèrement de rien :)