Jour # 1518 contre ta fesses un festin

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Toi, toi, toi elle ; toile de fond. Se faire du mauvais sang et y planter des plumes - tordre le cou des oiseaux de mauvais augures et petite musique de nuit - et trente plus cinq secondes de temps libre ; juste un biscuit, une sucrerie, sucre d’orge et récompense, la carotte au sucre blanc et le sucre de canne et le plaisir à la source - eau de source a en perdre le fil de l’eau ; et l’âme qui coule, roucoule et quelque part des chinois qui sentent fort qui se cachent et attendent, ils nous surveillent, ils veillent sur nous comme des anges contre fait ; contre frais, contre ta fesses et un festin qui rend très fier comme un coq sur ses pattes les ergo saillants comme une haie d’honneur, fier comme l’homme debout les pieds dans la misère et le sang et la foule et la merde et bien sûr le reste et surtout l’envers, l’envers des envies et l’envie à rebours comme des revers de vestes, une médaille qui brille, un voleur et un nain qui sont souvent les mêmes et tous ceux qui suivent le fleuve, à pieds devant ou en barque et encore un biscuit qui croque et une saveur sucrée

Publié dans Divagations diverses

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