Jour # 787 creuser des puits en Afrique

126 zouaves assoiffés de foutre et de stupre, 126 nègres comme la foule apatride assoiffés de vouloir en découdre ou de faucher la débâcle aux cercles initiés, chaos crachant la glaire de la colère aiguë ; la grâce digne de la ballerine qui détient le secret du bonheur en plein cœur d’une arabesque, tourner encore et creuser le vortex dans les ventres des vaches à lait, mamelles à faire pâlir les producteurs européens qui pourtant s’y connaissent en amour dans le près et pute à grosses mamelles télé-visée mais en Afrique la vache nouvelle n’est pas venue, la télé trop souvent et si l’amour est dans le près la misère est dans le désert et la famine en enfer et le mal ce n’est pas bien et on va tout mourir un jour, les noirs juste un peu plus vite pour compenser certainement que la nature les a doté d’un sens innés des affaires et d’un sexe à percer le sable pour faire jaillir l’eau ou le pétrole mais ils ne l’ont pas compris et préfère pénétrer les femmes alors que jamais aucune matière première n’en jaillira