Jour # 759 gorge profonde

Publié le par Cheval de bois

il faut parfois bâcler les mots pour se trouver du temps aux autres, qui mange qui ? Passer à autre chose que soit nécessite de petits aménagements entres amis, ménager la fraise et la louve parce que l'on sait trop bien que l’on va se prendre les pattes dans le réseau sans fil pour deux heures à brasser du vent sans siroter de bière, soulever des tempêtes en regardant la télévision - et pas la météo - sans le son et bizarrement réaliser qu'il y a des films qui brillent bien plus sans le son, épuré de la prose et de la glose bavarde. Le muet a encore de beaux jours devant nous ; et ce n'est pas un Everest qui fera mentir l'apologie du muet à ne pas confondre avec l'apologie du silence, le muet occupe l'esprit, le silence lui laisse carte blanche pour partir loin, moins le son est là plus je suis loin, et si le temps dur je peux faire le tour de la terre, le tour de la thèse ; fin de carrière et mort factice, la faucheuse en faux semblant et les glaneuses courbes le dos quand tu prétends que rompre la vie est le seul auspice pour ta bille, ça ne roule pas rond, trop con pour ne pas le croire, le cul sera le magot et Margaux dégrafera son corsage, enfant pas sage les seins à l'air j'ai la moustache qui frétille

Publié dans Divagations diverses

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