Jour # 556 l'être porte ouverte

Publié le par Cheval de bois

deux minutes d'éternité et trois grammes de poudre blanche - poésie dans le salon et mes mains sur ses hanches - porte ouverte et vent frais - la classe d'une silhouette et l'art trait pour trait - deux grammes dix d'extase en chemin de croix - et l'art lisse du divin dans la purée de pois - c'est l'art triste de l'acte instantané - le regard sous silence du jeune meurtrier - un violeur assassin de jeune fille une nuit de janvier - et de fil en aiguille rebroder le chemin de la peur chevillée - et sur son coeur de petite soeur il a posé des mains innocentes - même si aujourd'hui elles sont sous le coup de l'entrave violente - c'est la justice à vue - c'est la vie qui n'est plus - c'est l'irrévérence de la violence -prendre une vie sans démence - prendre une vie sans être esthète - donner la mort sur un coup de tête - ou de couteau - ou de marteau - donner la mort de sa connerie - mauvais mélange et idées froides en série - mauvais polard pour série Z - l'histoire à fini par croquer le loup - et le mot de la fin pour la défunte à qui revient le point final. 

Publié dans Divagations diverses

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S
<br /> <br /> C'est exactement cela<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> c'est donc rassurant<br /> <br /> <br /> <br />
S
<br /> <br /> ça fait froid dnas le dos<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> il faudra donc le relire cet été cet article <br /> <br /> <br /> <br />
S
<br /> <br /> Parfois la vie ressemble à une sempiternelle prolongation de la peur de la mort.<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> est-ce que ça ne serai pas cela qui nous tient en vie, à redouter la peur de la mort on l'évite et on avance jusqu'au plus loin de la repousser<br /> <br /> <br /> <br />