Jour # 530 est ce que les oiseaux pleuvent
A l'origine les aléas et les hélices d'une femme enfant qui du haut de ses bas regarde le monde d'une imparfaite indifférence à faire pâlir l'ogre et la foudre de l'orage aux espoirs dépourvue et c'est la ronde des nymphes, la flamme qui danse, vipère et cailloux démodés à rouler sur le sol et saisir l'instant, le disputer à la foule, la folie et à la fange, marcher en pieds impairs cachant ses bas sous le feu de sa robe ce qui ne veut pas dire qu'elle échaude le chat ni le fruit défendu, elle allonge le pas et fend le marbre d'un coup de rein, d'un coup de rien, d'un coup de dé, d'un revers de main, du bout des doigts, debout sur zinc une âme à la main, canon à la ceinture, calamité fumante sur l'ombre du désir, c'est la muse à abattre, pour un coeur papier peint à poser à l'avenir en lés régulières et parallèle, j'ai le coeur en parallèle, en parallèle de quoi à dieu de me le dire - et s'il n'existe pas faudra t il que la question soit sans réponse où que je trouve ici ceux qui suppléeront la divine activité -