Jour # 438 saisi par la pluie, l'effroi et le feu

Publié le par Cheval de bois

C'est une langueur, une douce scission qui descend de la gorge au bas ventre, un lambeau mélancolique et s'angoisse et qui grise comme le temps pluvieux sur ce jour de septembre, c'est comme un tableau de Rubbens qui écrase mon âme, une présence sans prévenir qui s'infiltre et qui draine tout le charme rompu, ça serai de la jalousie s'il s'agissait d'amour mais ce n'est pas de cela qu'il s'agite sur moi, c'est comme de l'injustice, de l'absurde et le ciel lourd sur mes doigts qui s'enfoncent dans la chaire onirique d'un rayon de soleil que je tenais dans mes bras, dans mes rêves, dans ma nuit, c'est pareil ça s'évapore au matin dans l'humidité ambiante

Publié dans Je est un Blog

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S
<br /> <br /> j'aime comme l'impression qu'il y a un truc de pas dit ou alors j'ai du mal à interprêter les mots ou alors je réfléchi trop<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Ton impression est bonne, très bonne, je suis troublé de ce regard, cette lecture si juste - merci de cela - alors cesse de douter, tu interprètes très bien<br /> <br /> <br /> <br />