Jour # 135 Immoler l’idole par le feu et faire griller des merguez

Publié le par Cheval de bois

ça fait plaisir d'exister, d'exciter et même de jouir aussi, en plein dans la mille et d'écrire quelques feuilles, moins de mille mais je le dis en face en fesses et en foutans le feu, mais qu'à la cheminée là où j'ai la flemme de vider les cendres ce qui laissera au phénix l'occasion de renaitre et moi j'envisage de manger, l'amour sa creuse à faire et sa consume les calories ce qui est une chance dans le me gave de tout ce que je n'écris pas, heureusement que j'écris un peu mais ça donne fait comme faire le mot, faire la claque et fer à cheval entre deux idées et un pont entre deux rives comme disait Hubert mort d'un excès de cholestérol, la vie ça tue comme disent les jeunes, euh comme disaient les jeunes ? M'en fous y'a pas de jeunes qui me lisent, d'ailleurs depuis quand un jeune saurai lire ? Un bon plat de pates et du jus de fruit et la foule frénétique d'une salle de hand ball bouillonnante pour finir au poisson cru sans le vinaigre, sauf peut être avec le gingembre.

Publié dans Chronique chaotidienne

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M
<br /> Perso j'ai mangé une daurade sébaste farcie aux cèpes et j'ai sniffé les cendres de la cheminée pour anéantir le phénix et faire renaître le choléstérol<br /> <br /> <br />
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