Parler avec ou sans tabous - là où il y aurai de la gène il n'y aurai pas de plaisir - mais foutre les mots dans le tabou c'est plaisant, jouissif, surtout si ce sont les tabous des autres, mettre les mots dans la boue, des tas de boue simplement parce...
Je n'aime pas les poètes, je n'aime pas la poésie, je n'aime pas le racisme, l'intolérance et la xénophobie et pour autan cela ne relève en rien de la poésie - il y a pourtant la gangue affreuse qui se répand sur qu'il nous reste d'humanité, société pathétique...
Que reste t il à vivre qui n'ai pas déjà été vécu par d'autres et même vécu avec plus de panache qu'on pourra un jour le faire, il en va de l'amour, le grand comme le petit, il en va du sexe, du plaisir et autres fantasmes que d'autres que nous ont ébauchés...
Qui viendra ici, aventurier ou héros à la grandeur déchue, sur les pas de ces mots qui dans une langue étrange dénoue le noeud gordien de son impacte dans le néant. Renégat à moi même et simple scribe de temps qui passe dans les contrées lointaines là...
Il y a un trait juste en dessous mais je ne sais pas à quoi il sert, je ne sais pas s'il me limite ou s'il me regarder mais à tout hasard je m'en approche, je m'en rapproche mais il s'enfuit, glisse d'une ligne, un trait qui va à la ligne et aligne son...
Génocide de mouche, satisfaction malsaine, corps écrasés, explosés, cadavres d'insecte jonchant le sol, silence, calme, expression secrète, violence incontinente, collection d'objectifs, rien à voir, sortir pour voir, mais sortir loin, là où l'on y va...
le petit couple amoureux va prendre du galon, de l'âge aussi un peu, qu'une moitié, la part du mâle toujours plus vieux que sa belle – sauf les couguars qui inversent les chiffres – une moitié plus vieille, la tienne, je veux dire ta part, ta part plus...
Il y a des jours comme ça, hier par exemple comme ça, trois requêtes comme ça, trois requêtes curieuses qui on conduits ici trois rechercher à la sensation des plus étrange, trois fois " petite fille nue " pour venir sur mon blog - faut il croire alors...
un soir de scène je t'ai connu - adopté - apprécier - désiré un peu aussi c'est vrai - et sans compter j'ai adhéré à la parole libre qui bouscule les mots pour décalquer le réel avec ce je ne sais quoi de décalage, la distance de l'esprit et la réalité...
