Le gros est revenu

Publié le par Monsieur C

Sur l’écran les radins et l’écrivain se retrouvent. Ici, lui et moi ici. Un troisième type doit être dans le coin. C’est un retour, un come back qui pue un peu quand même. Normal un des hommes à libéré ses vents intestinaux. C’est l’encre, encore l’écran, c’est l’encore, un cran au dessus, c’est le clavier, un musicien sur un clavecin de plastique, c’est la pratique, l’antique résonnement, un gargouillement caverneux, grosse tête et des mains, de la terre de sienne, la main au cul au pied du mur, la main au mur ; mauvaise peinture en graffite, le noir du charbon et l’ardent qui brille sous le météore, et alors ? Alcoolique revenu de tout, d’un dernier verre et du goût des pastilles à la menthe pour le goût d’un cigarette mentholée, une Emma blonde imprimée sur un billet, doux papier plié pour tuer les mouches, génocide arménien à peu près, je martèle encore, l’enclume et le marteau qui façonnent la faucille mécanique, comme mes doigts, comme la coupe d’un coiffeur fou, un ours brun d’origine danoise qui regarde le soleil passer dans le ciel, quatorze fois des animaux dans regardent au travers de leurs cages pour vérifier que les hommes sont là pour les voir.

Bien à moi ici.

Publié dans Je est un Blog

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