Dans la foulée d'un fou

Publié le par Ceci est un blog

Ou la vie, le noir, le blanc et la danse du con et la poivrière explosive que gardait ta nourrice pour d’éduquer quand tu devenais une trop visible petite conne. Idiote, tu ne devrais pas croire cela, ça moi, moi je sais, mais toi ? Le sais-tu. Le vrai, le faux et du frais, de la pensée fraîche, tu en veux ? Si c’est ton cas alors gobe mes mensonges pendant que le repas frémis dans l’huile. L’ange en short met du ketchup dans tes menstruations en espérant que cela te donne la frite ; idiote tu ne sais pas profiter des bonnes choses même quand elles coulent hors de toi. On a fermé la porte, à clef derrière toi, je me tiens à un mètre des clefs mais j’ai le bras trop court, trop court pour toi, même si tu allonges la foulée dans un marathon. Au point loin tu fuis, au long point de ta fuite je te poursuis de 1957 insistances en levant les bras et en remuant mes poings fermés comme pour contenir une chose précieuse dans mes paumes ; du vent, je tiens du vent comme tu le retiens avec tes fesses, je le retiens avec les mains comme une indicible prière que j’organise pour faire rire les dunkerquois. Je te promets de t’appeler si j’ai des hongrois dans ma baignoire et s’ils sont serbes, russes ou chinois je garderai tout pour moi. Comme un seul homme je suis le roi des égoïstes.

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