Jour # 933 le second de la suite

Publié le par Cheval de bois

à quatre par quatre on en arrive à l'heure fatidique de la quadrichromie, celle qu’on accouche en une seule fois, la muse à bras le corps, quatre temps du désir dans le puits de la répétition ; un écho au gout de miel vieille lune vite vue et vite faite ; envoyez vos foudres faire fondre la valseuse aux joues en feu sous la poudre et le fard et de denses artifices en idéaux sociaux ; au bord du lac c’est la confusion ; l’eau trouble tombe d’un ciel aux éperons de plomb sur une foule, autan de trous béants brillant sans génie depuis l’intérieur nécessairement creux et parfois cruel comme peut l’être l'ingénue sans ses dessous en dentelles ni ses frusques de lolita ; en quatre par cinq on affiche son égout dans un gâteau et ses langueurs sur les parts de tartes qu’engouffrent des anorexiques qui redoutent le jour où leurs fesses sous hémorroïdes surplomberont le monde dans son coté obscure ; un jour nous hisserons des robots droïdes sur les cadavres des filles parfaites ; le futur pour répandre des atermoiement adolescents, la patience finira par connaître la perfection et le futur des robots même si je pense que les robots arriverons avant le futur nous laissant la liesse des adolescentes humaines garder le rôle ultime de la tragédie humaine ; la meilleure solution reste de prendre l’avion ; quatre par quatre il faudra tenir jusqu'à lundi et dire lundi que l'on était mieux dimanche

Publié dans Chronique chaotidienne

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