1838 ème jour d'écriture : la critique au McDonald's

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La critique est possible, nécessaire, utile, rentable et obligatoire. Oui. Je n'ai jamais cherché à me soustraire à la critique. Je la cherche. Je l'espère. J'aspire à y être soumis.  

Mais la critique est un genre, c'est à un art que je me soumets. Lui l'art et moi le reste.

Je reste. Je suis en reste. Je ne suis rien devant la critique. C'est exactement pour cela que j'aime la critique et que j'ai besoin d'elle.

Mais la critique a pour devoir d'être expertise mentale exhaustive. C'est un devoir en son sein d'être formelle, fulgurance et fondée. Si elle se coupe de son art alors la critique n'est que venin sans saveur et je chie dans la bouche des critiques sans art.  

Je me soumets à la critique si elle est critique, qu'elle interprète, pénètre, s'insinue et perce à jour l'auteur plus que l'homme mais lui aussi.  

Que la critique apprenne à dépasser la modeste réalité qu'elle mais aussi n'importe qui est capable de comprendre, la critique pour le dépassement, je me déplace pour elle.

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