Les n’a pas répondu, réagi, renvoyé d’écriture postale ou mieux, retourné de mail en réponse à ma prose, audacieuse, ambitieuse, postale ; et oui la muse évoquée, envisagé un jour en bord de route, la belle qui tenait son portail, adolescente ou irréelle,...
Enfin, l’espace, le compteur, la couleur claire de l’écran qui scintille et éclaire le visage et l’espace autour, de moi, vis-à-vis de mon visage et de son voisinage et surtout plus d’un doigt ou de deux pour écrire les mots, retour du clavier, au clavier,...
Ils s'éloignent, comme prévu, l'un deux l'avait prévu, longtemps à l'avance l'un d'eux avait énoncé la chose, clairement, il le savait, c'était sûr, ça allait arriver et ça arrive, comme prévu, une preuve de clairvoyance, une certitude mais être sûr d'une...
1863 ème jour que je suis ici pour y écrire, seul, unique auteur de ce qui n'est une œuvre que par l'accumulation des jours. Jour après jour. Tour d'horloge avant révolution complète. Pourquoi faudrait-il être plus pour être soi ? Il n'y a que dans le...
1859 jours que ce blog est en vie, c'est à dire en flux tendu de rédaction d'articles quotidiens ou pluri quotidien. Et toujours pas de pic de visites. Comme si Google souhaitait oublier de me référencer. Mais je m'en balance parce que j'écris pour moi...
1858 jour d'écriture, et encore un peu sans internet. Je n'écris pas à domicile. Mais j'écris ici où je suis le roi. En roue libre, coulent à flot les rivières de carbone, et pétrole, encre noir de la terre, un sillon de sang noir dans la matière meuble...
1857 ème jour de ce blog,je vous laisse convertir en années et mois, pas loin de cinq ans et plus, et ça ne vous impressionne même pas bande de nazes. Matière molle. Une matière molle #malléable, un misanthrope parce que la PARCELLE n°8983 m'appartient....
1856 ème jour d'écriture menée sur ce blog, et au moins 30 jours consécutifs de coupure internet, je deviens donc un étranger à ce monde là, cet autre monde, celui qui n'est pas ici mais dans les nombreuses matrices qui depuis déjà des lustres numériques...
1850 jours d'existence de mon blog en quête de vues. Jour de plus, presque pluie et toujours pas de connexion internet, pas vraiment, pas réelle, pas chez soi, connexion fast food, écriture des bas fonds de la culture maigre, ironie du sort, écriture...
