Jour # 384 très peu pour moi
les lycéennes s'oublient, m'oublient, oublient et dépérissent pareilles à des fleurs coupées, pétales fanés dans l'encre turquoise, ne reste plus que le souvenir ému de cette impétuosité qui me toise et dévisage l'avenir comme un sombre fleuve, puis,...