Je dis je ne suis pa slà
Remonter le temps quatre à quatre pour dérouler de zéro jusqu’à au moins huit cent. Et cela même si ça alimente les songes d’une catharsis qui n’a jamais été la mienne. Comme je l’ai toujours ressenti, je suis sans cœur, j’ai de l’amour propre, de l’estime...