Jour # 1462 quatre ans que je tiens ce blog
Quatre ans et un jour, quatre ans et bonjour, quatre ans et une fois de plus, quatre ans et plusieurs centaines d'articles et même plus d’un millier déjà écrit, quatre fois un an et justement un jour de plus ; tu le crois ça ? Voilà quatre ans que je tiens ce blog au rythme minimum d'un article par jour et je me surprends moi même a être encore là, écrire pour les beaux yeux des amis lecteurs lectrices robots anonymes et adorables adorateurs de curiosité car je suis une curiosité, une chose curieux, écriture pas pieuse par passion et pour et par la force de l'habitude.
Étonnant hasard de l'histoire de mon voyage de blogueur il se trouve que mon blog change de peau et design aujourd'hui, quatre ans et un jour après son départ, début, origine. Je me rappelle des jours d'avant les cents jours quand j'oubliais d'écrire et que je rattrapais le temps perdu en antidatant mes articles. Je suis devenu productif, producteur de ma prose, flirtant avec mes prétentions littéraires de plume tropicale, flirtant avec mes fantasmes, les fantaisies fantastiques d'un esprit qui tourne en urgence, je fais l'expérience d'une boucle frénétique neuronale. Je suis rentré dans la vie et les accentuations de la conscience frôlent les deux premiers épisodes de votre destinée.
Désinfection obligatoire pour les autres et généralement pour moi c'est aussi un peu de trop, mais jouer avec les détergents est si drôle que je ne m'en lasse pas. Mais la poésie et de la lumière mise en pièces par la lame ouverte des yeux de l'homme qui échappe à un complot. Un sac en plastique sacré, sache le la préciosité ne se trouve que dans le liquide rachidien et le reste ce n'est qu'un piège à mouche. Bienvenue dans six ans, je vous ferai l'article pour vous vendre mes enfants et les dix ans adoptés comme un firmament à ma plume numérique. Dans dix ans nous seront vieux, comme la vieille merde de Piero Manzoni nous seront de vrais artistes, symphonie des faux semblant, au zénith de l'imposture les femmes me montreront leurs seins et les timides laisseront trop de commentaires pour que je puisse y répondre à toutes.
Quatre années entières ; je suis le roi