Jour # 646 à la louve qui savait sourire sans smiley

Publié le par Cheval de bois

Quelque part au détour d'un bois, au pieds d'un grand feu, d'un bel arbre, d'un ourse au bas d'un colonne se dresse ou se dressait la louve qui savait sourire sans user du smiley, un art en phase de disparition face à l'emphase d'une tête ronde et jaune et universelle à deux trois langues, la louve croque ou croquait en guise de vaccin, un rappel du coup de la vie, la vie comme une morsure, la sensation vive et indélicate qui vous saisi en pleine vie, un pleine rue, mine de rien, ça manque les louves, qu'elles montrent pattes blanches ou pas, mine de rien j'y pense et sa creuse la mine au souvenir, nostalgie et poutre en bois et l'heure tourne, tic tac, tic tac, le bord de la falaise, la répétions des jours, le retour aux cases départs et s'arrêter avant la fin, avec la fin, avoir faim et froisser le bas de la page, le pixel ne fait pas de rature, peut être se prive t il de littérature aussi par là même, ça aurai été peut être là tout le sens d'une écriture au jour le jour

Publié dans Divagations diverses

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