Jour # 468 je suis une usine à production testiculaire - je brasse du vent aussi -
Bien bien bien - deux heures et vous - deux heures et moi - deux heures et cela ; deux heures d'écriture matinale et cela ; un flirt littéraire, une tromperie en écriture, une évasion, une dérision, un instant d'écriture presque automatique avec une sensation de plaisir délicieux proche de la masturbation, non plutôt du fantasme, le plaisir de l'imagination qui entraîne mon esprit des envies et des pulsions et la douceur masturbatoire des mots qui jaillissent - j'ai comme une envie d'éjaculer ; ce qui suppose faire l'amour ou bien baiser pour libérer un peu de cela, de la tension et de l'envie mais pour sentir, ressentir, l'éclaire génial du plaisir - c'est surtout que l'instant d'après le corps apaisé et l'esprit qui a baisé s'ouvre à de nouveaux horizons, s'ouvre à une pensée plus sereine et parfois plus étonnante. Et bien c'est peut être simplement une envie naturelle qui n'a pas besoin des mots pour se justifier, c'est jsute que souvent les mots et les fantasmes flirtent et se fréquentent dans mon esprit à point de parfois ne plus savoir les démêler - et alors ? Et alors rien, c'est juste là, ce sont juste des mots, la tête qui s'oubli et les doigts qui écrivent sans compter, un deux trois quatre, sans compter, cinq six sept huit et puis la suite vous la connaissez non ?