Jour # 1445 mais si !
De haut en bas à s’entre battre de l’aile et des ailes de l’histoire ; dans le précieux des colombiers, dans le secret des greniers à grains, dans la nature des éléments de l’eau et de la pluie et la grêle sur la peau qui vous tombe sur le dos comme le vent de sable tombe sur le désert impétueux et impromptu. Un point, une virgule et un homme qui s’envole, vole à dieu et à Icare le droit de dominer de la tête et des épaules les anges de blancs vêtus et les nuages aux couleurs réversibles et aux colères irréversibles. Et l’homme vole, il plane, drogué qu’il est à l’adrénaline ne voit plus le sol sous ses pieds se muer en grain de sable minuscule ; pas un palmier, pas la déroute d’une civilisation, il ne s’en doute pas mais l’homme volant est le dernier homme emporté par les vents comme la spore d’un parasite mycosique qui finira par contaminer un autre grain de sable qu’il fera grandir comme l’on fait grandir dieu dans le cœur des enfants avec de l’inconscience, du mensonge ce qu’il fait de coercition.