Jour # 1247 des cris d’écriture automatique
des cris d’écriture automatique que l’on dépose sur du papier histoire de faire de traces fantomatiques des écrits sous la pluie, le récit d’un jour de pluie, un samedi dans la tête du célibataire Nu qui laisse parler sa bonne fortune, son sens d’une révolution de dentelles comme un haut fait d’une révolution feutrée plus fort qu’un acte de séduction massif ; n’oublions pas qu’une femme qui laisse entrevoir sa petite culotte à quelque chose d'éminemment subversif et c'est cette subversion qui fait l'érotisme, il n’y a pas de désir sans subversion ; l’homme, Bien connu pour l'étroitesse de son sens de la perversion généralement délimité au périmètre qu'il peut définir par la pointe de son sexe, est bien moins capable d'écrire une révolution qui soit portée par un sens de la subversion ; circonférence dialectique d'une sphère de métal, de plastique, de cervelle, le cerveau révolutionnaire en berne sans commune mesure avec une ville suisse et une tête qui tourne ; j'ai la sensibilité qui s'exprime comme dans de la poésie de marécage et là à ce moment où la force manque, que le creux dans les tempes se creuse et que dans l'orbite circulaire fait tourner les globes, je sens que je tourne de l'œil, de la tête et du ventre vide ; à la table pour sauver ce qui peut l'être et certainement pas ce texte