Jour # 1149 le plafonnier avait raison

Publié le par #ceciestunblog

homérique patriote avec le sel sur la peau et de la sueur sur le sel et sur la peau et de la crasse mêlé à la sueur au sel sur la peau ; le cul sur la chaise et le cul dans son caleçon qui est un boxer qui est usé et pas de jeans parce que le jeans et usé, trop usé, élimé jusqu’à ce qu’il se déchire à l’entre cuisse, les fesses à l’air, le vent, le frais, l’anodin, la sueur, la poussière, le sable et sur ces fesses posée sur la baisse de jardin de bureau énoncer des listes, éructer des cliquetis régulières qui énoncent eux-mêmes des mots qui les uns à la suite des autres énoncent des listes redondantes pour couvrir l’inanité blanche et plate et la télé et les chaînes et la HD, les couleurs de Miami, les bribes d’un scénario qui eux même se suivent, se ressemblent, se répètent, sont redondants et corroborent l’obsolescence du cinéma qui pourtant n’arrivera jamais parce que les choses ne meurent jamais, ni le livre par la radio, ni la radio par la télé, ni la télé par internet, ni internet par la pensée ni la pensée par le livre il y a juste les formes qui s’affinent les modes qui s’assèchent et l’équilibre du monde lui ne change pas, ou toujours, peut importe parce que je ne suis pas le monde et je n’ai même pas le sens de l’équilibre

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