Jour # 1030 D comme dimension distale

Publié le par #ceciestunblog

Et deux interceptions et un doigt dans la prise électrique humaniste, féminine, enfantine, infamante ; prise à l’éclectique dissonance et athlétique assonance, les athées ne baisent pas plus que les croyants aussi curieux qu’il en soit ou qu’il en est ; la sexualité sans dieu n’est pas plus folle, ni plus douce que celle commise avec, l’athéisme est ni hallucinatoire, ni aphrodisiaque alors à quoi bon ne pas croire quand croire n’est autre qu’une forme d’athéisme du réel dans sa dimension concrète et vaine ; marcher sur les toits, se passer de toi, traire ton existence pour en extraire le jus, la moelle, la rose et les épines d’hier ; broyer ta vie pour quelques essence d’elle essentielle à l’élaboration d’autre chose, parfum des grands mots, métrage ascétique d’une destiné, de la destiné, de la table des rencontres et du jet de dé qui anoblira le hasard et on oubliera de le remarque, tomberont dans l’oublie les cygnes noirs et blancs, les renards et les femmes rousses ; assonance du hasard d’un assommant destin aux aberrantes ficelles déterministes, tu ne te détermine pas, moi non plus mais moi j’écris, je trace les fils de marionnettes de papier que j’anime, enfume, désir, dévoie, dévore et distingue d’une destinée distale ; je suis le narrateur omniscient, la conscience, la culotte, la volonté, l’accablement et le temps qu’il fait comme celui qui passe ; un tout éphémère qui sait tout de ce qu’il se passe derrière les murs réfractaires

 

# dieu est sexy # dieu dans ta culotte # dieu est souillé # dieu est indisposé # indice de réfraction

Publié dans Je est un Blog

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