Jour # 492 et la crosse sous la pluie au Brésil
Je ne peux rien pour la forme - mise en page automatique - mais je peux pour les mots ; je déroule dans mon seul ciel et me love dans le fauteuil - douce chaleur - ce dimanche n'en a pas le gout et moi j'ai celui du café encore sur les lèvres et pourtant je n'ai pas la ferveur du mots fébrile et le souffle enflammé - trop de confort tuerai t il ma révolte dans l'oeuf - je suis là petit blogueur bourgeois bien gras et bien portant las de la révolte contre les foules salies de la masse grouillante, une brise sur l'horloge et une braise derrière la vitre la télé pale copie du réel c'est peut être cela qui tue dans la flemme la fougue révolutionaire. Je vous cherche peuple de la révolte je ne suis peut être plus assez romantique pour me dresser seul face à l'infini mais je suis trop pragmatique pour espérer voir se lever d'une seule voix le corps de la révolution - rêve évolution - et ma locution se casse en roulette rusée