Je dis je ne suis pa slà

Publié le par Monsieur C

Remonter le temps quatre à quatre pour dérouler de zéro jusqu’à au moins huit cent. Et cela même si ça alimente les songes d’une catharsis qui n’a jamais été la mienne. Comme je l’ai toujours ressenti, je suis sans cœur, j’ai de l’amour propre, de l’estime de moi assez peu pour que les autres m’ébranle, mais je n’ai pas de cœur. Et je suppose qu’un jour elle se lassera ; ou que j’arrêterai ce blog sans savoir. Et les petites piques ne sont bonnes qu’à faire de petites brochettes de légumes ; or je le rappelle mais je en suis pas un légume, je ne suis pas une métaphore. Vous pouvez le taxer de paresseux, pas le singe mais l’homme si flegmatique qu’il se prélasse à regarder sa vie couler comme le flot de la rivière. C’est donc ainsi que je vais arriver à lundi ; un doigt encore dans mercredi et l’autre qui appuis sur lundi.

Publié dans Divagations diverses

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